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Les survivants de la fusillade en Floride affrontent courageusement les critiques et les honteux sur les réseaux sociaux

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Les fusillade mortelle au lycée Marjory Stoneman Douglas à Parkland, en Floride, mercredi, qui a coûté la vie à 17 personnes, marque la 18e fusillade dans une école aux États-Unis en moins de deux mois, selon le groupe de défense de la sécurité des armes à feu Everytown pour la sécurité des armes à feu.

Des personnalités publiques des deux côtés de l'allée politique, de Tomi Lahren à Jimmy Kimmel, ont exprimé leur opinion quant à savoir si le moment est venu de discuter des lois américaines sur le contrôle des armes à feu.

La gauche peut-elle laisser les familles pleurer ne serait-ce que 24 heures avant de pousser leur programme anti-armes et anti-propriétaires d'armes? Mon Dieu. Il ne s'agit pas d'une arme à feu, mais d'un autre fou. #FlorideTir

- Tomi Lahren (@TomiLahren) 15 février 2018

Oui @RealDonaldTrump, il est temps de faire quelque chose contre les fusillades dans les écoles... https://t.co/9k0KDim7KGpic.twitter.com/DB2MxjhPRO

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– Jimmy Kimmel (@jimmykimmel) 16 février 2018

Et puis il y en a d'autres, dont le président Donald Trump, qui ont fait honte aux victimes. Trump a tweeté que "les voisins et les camarades de classe savaient qu'il était un gros problème. Doit toujours signaler de tels cas aux autorités, encore et encore !"

Le commentateur politique conservateur Mark Dice a également critiqué les survivants (dans un tweet maintenant supprimé) pour avoir utilisé les médias sociaux pour documenter l'incident en temps réel et les a accusés de ne pas avoir appelé le 911. "Quelqu'un veut dire aux enfants de la génération Z qu'en cas de fusillade dans une école, ils devraient appeler le 911 au lieu de publier une vidéo sur Snapchat", a-t-il écrit.

Comme l'a noté le chroniqueur de ELLE.com, Sady Doyle, « les médias sociaux sont simplement la façon dont les gens (en particulier les moins de 30 ans) communiquent avec leurs proches en cas de crise. Facebook a introduit des boutons permettant aux personnes de se marquer comme étant en sécurité lors d'un incident terroriste ou d'une fusillade de masse. Lorsqu'un incident de violence domestique a éclaté lors d'une fusillade dans ma ville natale, ma mère m'a envoyé un message sur les réseaux sociaux, car elle sait que je le regarde plus souvent que je vérifie mes textos."

Ces critiques et shampoings ont d'énormes plateformes. Ils détiennent d'énormes pouvoirs (vous ne pouvez pas être plus puissant que le plus haut poste du pays). Mais ces victimes, qui viennent de subir un traumatisme insondable, réagissent. Dans leur douleur, ils s'expriment sur les réseaux sociaux pour prendre ces dirigeants à partie.

Lis-les. Écoutez-les. Retweetez-les.

Cher Donald Trump,
Je suis la fille de 16 ans qui vous a tweeté et vous a dit que je ne voulais pas de vos condoléances, je voulais le contrôle des armes à feu et je suis devenue virale à cause de cela. J'ai entendu dire que vous veniez bientôt dans ma communauté et j'aimerais vous exprimer en personne mes opinions sur le contrôle des armes à feu.

- Sarah Chadwick (@Sarahchadwickk) 16 février 2018

17 personnes sont mortes. 17 de mes camarades de classe. C'est comme ça que tu réponds putain? À quel point devez-vous être une bite sans cœur pour tweeter quelque chose comme ça. Et d'ailleurs, alors que nous courions pour sauver nos vies, nous appelions le 911 au point qu'ils nous ont dit de ne plus le faire. https://t.co/MQWae1mGwv

- Sarah Chadwick (@Sarahchadwickk) 14 février 2018

Je me suis caché dans un placard pendant 2 heures. Il s'agissait d'armes à feu. Tu n'étais pas là, tu ne sais pas ce que ça fait. Les armes à feu donnent à ces gens dégoûtants la possibilité de tuer d'autres êtres humains. Il s'agit d'armes à feu et de toutes les personnes dont la vie a brusquement pris fin à cause des armes à feu. https://t.co/XnzhvuN1zd

- carly (@car_nove) 15 février 2018

mes seuls mots. pic.twitter.com/5ICqoGrybl

– un (@alysgold) 16 février 2018

Rien ne sera plus effrayant pour les dirigeants de notre pays que de nous voir, les enfants, venir constamment vers eux et leur dire ce que nous pensons pour résoudre ce problème persistant. Nous n'arrêterons pas.

— lyliah .°• ੈ♡₊˚•. (@1y1iah) 16 février 2018

J'étais là. J'ai entendu les cris. J'ai entendu mes camarades de classe et mes amis crier à l'aide alors qu'il tirait dans leurs salles de classe à côté de la mienne. Je les ai vus étendus là quand la police a cassé la porte et nous a fait sortir. C'était une douleur que je n'avais jamais espéré avoir à expérimenter ou que quelqu'un éprouve

– Taylor Yon (@tayloryon_) 16 février 2018

Une arme à feu a tué 17 de mes camarades de classe. Une arme à feu a traumatisé mes amis. Toute mon école, traumatisée par cette tragédie. Cela aurait pu être évité. S'il vous plaît stfu tomi https://t.co/qNo03ZE3Ev

– Kyra Parrow (@longlivekcx) 15 février 2018

J'étais là. J'ai vu et entendu des camarades de classe se faire tuer juste devant moi. Les gens de mon école qui ont vécu cela veulent encore plus qu'avant le contrôle des armes à feu.

– Morgan Williams (@morganw_44) 14 février 2018

De:ELLE NOUS

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